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Affichage des articles du mars, 2017

L'ARRET CARDIAQUE : UN PROBLEME DE CERVEAU

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Vers la fin du 13 ème siècle, un acuponcteur chinois nommé Chang San-Feng se demanda s’il ne pouvait pas détourner les effets bénéfiques de l’acuponcture dans le but de nuire, voire même de tuer, ses ennemis. S’il était possible, grâce à l’acuponcture, de guérir en stimulant les méridiens et ainsi faciliter la circulation du qi dans l’organisme, il devait exister des points qui, à l’inverse, s’ils sont stimulés, n’engendrent non pas la guérison mais la mort. Selon la légende, il développa un ensemble de techniques d’attaques basées sur des coups ou des pressions sur les méridiens, qu’il dénomma Dim Mak et que l’on peut traduire par « touche mortelle ». Toujours selon la légende, celui qui maîtrise le Dim Mak est capable de tuer son adversaire d’un seul coup de poing, en particulier si celui-ci est asséné dans la poitrine de l’ennemi. Plus de 700 ans plus tard, le 15 avril 2013, un match de baseball se déroule sous le soleil de la Californie. Il oppose les enfants de la peti

DANS LES PENSÉES D'UN COWBOY SOLITAIRE

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Pendant plusieurs décennies, les rumeurs les plus folles circulèrent à New-York à propos des frères Collyer. Les 2 hommes, issus d’une famille très riche de la ville, vivaient en ermites depuis la mort de leurs parents, reclus dans leur maison en plein cœur de Manhattan. Homer, le plus âgé des deux, était aveugle et paraplégique, si bien que son cadet, Langley, passa toute sa vie à s’occuper de lui. On les voyait accumuler toute sorte d’objets dans cette maison, et personne ou presque n’était autorisé à y rentrer. Jusqu’à un beau jour de 1947 où les frères ne donnèrent plus signe de vie. La police fut appelée, on craignait qu’ils soient morts à leur domicile. Mais les autorités ne purent entrer dans la demeure, l’entrée étant complètement barrée par un  mur d’immondices et de vieux journaux. Il leur fallut une échelle pour accéder à l’intérieur, en passant par la fenêtre du 2 ème étage ! Logement des frères Collyer, à New York La stupéfaction les pris une foi